C’est drôle, très !

Rien à ajouter, ruez-vous dessus, prenez-en cinq ou six ! (plus une dizaine pour les offrir avant qu’on ne vous les vole)
120 jeux de mots, anagrammes, paronymes ou encore homophones
C’est drôle, très !

Rien à ajouter, ruez-vous dessus, prenez-en cinq ou six ! (plus une dizaine pour les offrir avant qu’on ne vous les vole)
Une vie de femme, une sexualité de femme, un sexe de femme, une histoire

Amandine regarde en arrière et se souvient, des premiers émois, des premières langue, de la première fois, des nombreuses fois, de l’habitude, des ruptures, de la solitude et du renouveau. Elle épluche les codes et les non-dits.
C’est absolument intime et très beau. Pourtant, cette distanciation entre « je » aujourd’hui et « elle » hier m’a un peu perdu.
Alors ? Autobiographie ou autofiction ? Finalement, si les mots sont vrais, qu’importe !
Un flatteur panégyrique laudatif (j’ose les pléonasmes) à la gloire Matthias Sindelar… Oui, ce livre, c’est un peu ça. Mais pas que ! Et dans sa brève post-face, Olivier Margot revient sur les inévitables dernières zones d’ombres malgré un travail de recherches et de documentation qui dû s’avérer phénoménal.
Reste un sportif d’exeption, un footballeur hors norme sacré sportif Autrichien du siècle. Mais aussi un homme qui refusa de plier devant le IIIe Reich, retrouvé mort dans de bien étranges circonstances.

Un chouette bouquin à destination des passionnés du foot ou des amateurs des portraits fleuris.
Chick-lit, pop-lit ou feel-good… difficile de coller une étiquette très claire sur ce portrait en miroir de deux femmes sur une terrasse. Deux femmes dont on suit les pensées, les envies, les frustrations, les bonheurs, les errances, les jalousies et les échecs…

C’est en tout cas absolument drôle, facile à lire et plus profond qu’une simple blagounette
Un brillant premier roman à la construction remarquable !
Et voilà enfin le douzième et dernier (?) tome annoncé de Last Man. Magnifique !

Et me voilà, partagé entre tristesse, émotion, un brin de déception (on en voudrait toujours plus) et plein de bons souvenirs de cette géniale aventure !
Scénario au top, dessin parfait, personnages vivants et complexes, de la violence, des émotions, de l’amour, de l’humour et de la dérision… Good Job !
Une suicidée par défenestration à Paris, un noyé inconnu à Saint-Jean Cap Ferrat, une enquête qui piétine, une passion adultère au boulot… Tout ça pour un petit roman qui pousse à tourner les pages pour tenter comprendre…

Un peu couci-couça pour l’ensemble qui, s’il est cohérent, manque d’un brin de panache ou d’une étincelle de fantaisie.
Une histoire incroyable qui commence par le meurtre de son père, un jugement et un acharnement judiciaire incompréhensible, une évasion, chirurgie éthétique de boucher, cavale, la French Connection et le trafic de drogue. Re-prison aux États-Unis et re-évasion… puis des chevaux et enfin l’espoir une vie paisible avant l’extradition vers la Suisse qui refuse de lacher le morceau pour une peine quasi-purgée…

Une aventure racontée dans un style terne et lassant mais qui tente de rendre compte au plus juste la vie incroyable de Josette Bauer qui fascina Truman Capote
Un Truman Capote qui semble n’avoir que peu de goût pour les helvètes…
Des bonnes blagues à l’humour potache en page double. Super(pouvoir) drôle !

Mais tout ça manque un peu de matière quand même.
On peut lire ce petit recueil de pensées comme une balade avec Michael Lonsdale qui nous parlerait de ses souvenirs, de ses pensées et de ses émotions artistiques.

Peinture, sculptures, cinéma, photos d’enfance, personnalités, musique…

C’est doux et délicat… et un peu léger
M’houais, c’est rigolo et plein de dérision. De la pure chick-lit en forme de guide de l’été pour trouver son chéri, empêtrée dans les vieilles casseroles des déboires amoureux à la recherche d’un prince charmant aux dents blanches et au sourire enjôleur

Amusant, mais à réserver aux fans de Bridget Jones et aux lectrices de Cosmo