Se murió Quino. Toda la gente buena en el país y en el mundo, lo llorará.
— Daniel Divinsky (@DanielDivi1) September 30, 2020
Quino est mort. Toutes les bonnes personnes du pays et du monde entier le pleureront
Pas des livres
Se murió Quino. Toda la gente buena en el país y en el mundo, lo llorará.
— Daniel Divinsky (@DanielDivi1) September 30, 2020
Quino est mort. Toutes les bonnes personnes du pays et du monde entier le pleureront
2019… A y regarder de plus près, bien des lectures érotiques (Merci Belinda Canone) avec près de 25 livres nominés dans cette catégorie, finalement peu folichonne. Bref, pas grand chose et pas la plus fofolle des années lectures pour un peu plus de 21’000 pages. A peu près la moitié en fiction, un tiers d’essais ou de (auto)bios et une vingtaine de BD…
Restera le choc de la vraie vie en début d’année, la beauté poétique d’Il nous faudrait des mots nouveaux, des beaux voyages avec Ganda, Petite et le magnifique Je parle à un homme qui ne tient pas en place. Pour les essais, d’intéressantes colères avec développement (im)personnel et le bug humain
Plus encore pour ses excursions hors du commissariat, avec par exemple Pension Eva ou le neveu du Négus, Camilleri m’a beaucoup amusé et touché.
Un auteur sicilien plein d’humour qui a célébré les plaisir de la table insulaire… et donné beaucoup de mal aux traducteurs qui peinèrent fort à retranscrire son écriture (avec quelques belles catas quand même)
Pour l’écriture… bof, non, pas vraiment. Ce n’était visiblement pas ton truc.
Mais sur scène, devant une caméra ou simplement un micro ! Et alors, au son de ta voix, tu étais sublime, envoutant, drôle, charmeur, tonitruant, magnifique !
Quelle timbre, quelle présence, quelle moustache !
Et merci à Sorj pour son très brutal et émouvant Le jour d’avant, Philippe pour l’halluciné Véronique sa mère, Titiou pour le libératoire et combatif Libérées, Philippe pour son tendre Arrête avec tes mensonges, Robert pour le brûlant Après l’incendie et à Grégoire pour le passionné Danser au bord de l’abîme.
28’415 pages d’émotions, de rires, de sexe, de drogues, de violence, de meurtres, de dérision, de souvenirs, d’évasion, de relations, d’enquêtes, de réel et de fantasmes, de joies et… parfois aussi, de longueurs et d’emmerdement.
Pour tout ça, merci !