Simenon psychologue de cuisine se lance dans l’analyse de la vie d’un jeune homme pour tenter d’y trouver ce qui a fait de lui un meurtrier.
Un roman fort daté qui éclaire toutefois bien des complexes de la masculinité qui ont encore cours aujourd’hui
Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Il n'était qu'un homme au volant d'une auto, par un soir de pluie glacée, dans le grouillement lumineux de Paris d'abord, puis dans les rues de banlieue, sur la grand-route enfin, où d'autres voitures passaient entre deux gerbes d'eau, et il avait vu des poteaux indicateurs, sans les lire, avant de s'enfoncer dans cette forêt immense où les sapins formaient une voûte au-dessus de lui.
Il n'était qu'un homme au volant d'une auto, par un soir de pluie glacée, dans le grouillement lumineux de Paris d'abord, puis dans les rues de banlieue, sur la grand-route enfin, où d'autres voitures passaient entre deux gerbes d'eau, et il avait vu des poteaux indicateurs, sans les lire, avant de s'enfoncer dans cette forêt immense où les sapins formaient une voûte au-dessus de lui.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Albert Bauche, en panne dans la forêt d'Orléans, téléphone à la gendarmerie, s'accuse d'un meurtre et se constitue prisonnier. On apprend au travers des interrogatoires qu'il travaillait pour la victime, Serge Nicolas. Si Bauche n'établit aucun contact avec les enquêteurs, il se sent à l'aise quand il s'entretient avec le psychiatre...
Albert Bauche, en panne dans la forêt d'Orléans, téléphone à la gendarmerie, s'accuse d'un meurtre et se constitue prisonnier. On apprend au travers des interrogatoires qu'il travaillait pour la victime, Serge Nicolas. Si Bauche n'établit aucun contact avec les enquêteurs, il se sent à l'aise quand il s'entretient avec le psychiatre...
