Charles Draper

-Papa? Pourquoi il y a du sang derrière ton oreille ?

La chronique d’un drame bien annoncé, mécanique de la descente aux enfers de la jalousie.

Charles Draper de Xavier de Moulins
Charles Draper de Xavier de Moulins

Un roman bien maîtrisé sur la perte de contrôle.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
« Autrefois, après l'amour, on fumait une cigarette ; aujourd'hui on allume son portable. On dirait que Mathilde a un nouveau message. »

La brûlure de l’été

Une famille, la précarité, un tigre. Et un drame, en France, à côté d’une ligne du TGV.

Un texte poignant mais gêné par une structure ou un je ne sais quoi de mal maîtrisé. Zut.

La brûlure de l'été de Jacques Weber
La brûlure de l’été de Jacques Weber
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Un couple vivant de peu s'installe dans une gare désaffectée avec ses deux enfants. C'est la promesse d'une vie moins précaire. Mais les dettes s'accumulent et, en pleine canicule, on menace de leur couper l'eau.

Un terrible fait-divers, qui a autrefois défrayé la chronique, a inspiré à Jacques Weber un récit bouleversant, à la fois âpre et tendu, jusqu'au drame final. Un récit où il est question d'une France en marge, de surendettement, de cirque, de tigre échappé, de bistrots, de rêves, d'amour, de désespoir et d'idéaux.

Jacques Weber déploie ses talents de conteur dans une langue inventive et puissante, précise et évocatrice. Il nous livre un premier roman humaniste

Arrive un vagabond

Haaaaa, l’amour, l’amour, l’amour… On fait bien des bêtises avec c’t histoire.

Arrive un vagabond de Robert Goolrick
Arrive un vagabond de Robert Goolrick
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
C'est au cours de l'été 1948 que Charlie Beale arriva à Brownsburg, chargé de deux valises - l'une contenait quelques affaires et des couteaux de boucher, l'autre une importante somme d'argent.

Charlie y tomba deux fois amoureux. D'abord, il s'éprit de cette ville paisible de Virginie dont les habitants semblaient vivre dignement, dans la crainte supportable d'un Dieu qu'ils avaient toutes les raisons de juger plutôt bienveillant à leur égard. Une preuve parmi d'autres : il n'y avait encore jamais eu de crime à Brownsburg.

La deuxième fois que Charlie tomba amoureux fut le jour où il rencontra Sylvan Glass