Les belles endormies

Vieux, se coucher dans le lit d’une belle endormie.

Les belles endormies de Yasunari Kawabata
Les belles endormies de Yasunari Kawabata

Et rêver

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Dans quel monde entrait le vieil Eguchi lorsqu'il franchit le seuil des Belles Endormies ? Ce roman, publié en 1961, décrit la quête des vieillards en mal de plaisirs. Dans une mystérieuse demeure, ils viennent passer une nuit aux côtés d'adolescentes endormies sous l'effet de puissants narcotiques. Pour Eguchi, ces soirées passées dans la chambre des voluptés lui permettront de se ressouvenir des femmes de sa jeunesse, et de se plonger dans de longues méditations. Pour atteindre, qui sait ?, au seuil de la mort, à la douceur de l'enfance et au pardon de ses fautes

Azami

Délicat et sensuel comme une fleur qui ondule au vent. Le réveil de la sensualité d’un trentenaire.

Azami de Aki Shimazaki
Azami de Aki Shimazaki

La rencontre du premier amour, vingt ans après.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Mitsuo Kawano, jeune trentenaire, est étonné quand il croise par hasard Gorô Kida, un ancien camarade de classe devenu le président d'une importante compagnie. Il est encore plus surpris lorsque celui-ci l'invite dans un club très sélect où travaille une autre ancienne amie d'école, la belle et mystérieuse Mitsuko, devenue entraîneuse.

Mitsuo mène une carrière de rédacteur pour une publication culturelle en attendant de fonder sa propre revue d'histoire. En dépit d'un certain détachement sexuel, il s'entend bien avec Atsuko, la mère de ses deux enfants. Il se contente de fréquenter les salons érotiques pour combler ses besoins. Mais ces retrouvailles fortuites ravivent en lui les rêves et les désirs de jeunesse.

Avec sa prose intimiste et précise, Aki Shimazaki explore cette fois ce que l'on devine derrière la paroi trop lisse des apparences

Zen

Un bijou, subtil comme une calligraphie japonaise.

Zen de Maxence Fermine
Zen de Maxence Fermine

Un haïku en prose poétique.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
«Chaque jour, de l'aube au crépuscule, Maître Kuro pratique l'art subtil de la calligraphie.

Pendant de longues heures, dans un recueillement proche de la plénitude, il reste agenouillé devant un rouleau de papier de riz et le recouvre d'encre noire.

Peu lui importent le vaste monde et ce qui le régit depuis des siècles. Il vit concentré sur son labeur et sur la direction, la finesse du trait qu'il dessine à main levée.

Avec verticalité, harmonie, simplicité et élégance.

Ainsi va la vie, tranquille et apaisante, de Maître Kuro.»

Jusqu'au jour où...