Corto Maltese : La reine de Babylone

Hommage ou gâchis ?

Certes, quelques planches sont très réussies et quelques cases même magnifiques… Mais !

Corto Maltese : La reine de Babylone de Martin Quenehen, dessins de Bastien Vivès, d’après Hugo Pratt

Le scénario nous emmène un peu n’importe où dans une action digne d’un 007.

Non, Corto méritait sûrement un peu plus de travail pour éviter un album vide qui nous propose un nième cliché délavé et incompréhensible d’un Corto botoxé.

Zut

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Venise, octobre 2002.
Sémira...
Et si on s'éclipsait, rien que tous les deux ?
Idiot.


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Entre pulsions de vie et de mort, l'une des aventures les plus marquantes de Corto.
Automne 2002. Alors qu’une nouvelle guerre se prépare en Irak, à Venise, les trafiquants font la fête. Corto est là aux côtés de Semira et de sa clique de Bosniaques, pour jouer les pirates… Mais quand l’amour, l’honneur et la fortune s’entrechoquent, fatalement, le malheur éclate… De l’Adriatique au Golfe Persique et, des Balkans à Babylone, entre chiens et loups, Corto va devoir, une nouvelle fois, tracer sa route, aimer, se battre et découvrir que l’aventure est une malédiction qui empêche de ne jamais rentrer au port…