J’ai soif ! soif ! soif ! mais soif !
Bien miséreux que ce livre d’alcoolo triste et auto-apitoyé pris dans les affres de la page blanche, du manque de talent et des trous de mémoire. Reste de belles pages, des bons mots et des colères revigorantes… gâchées dans l’alcool moisi. Difficile de pardonner l’ivresse pleurnicharde, écrire exige l’alcool flamboyant.