D’or et d’oreillers

En tout premier, ce qui émerveille, ce sont les dessins, la mise en page et les couleurs, magnifique !

D’or et d’oreillers de Mayalen Goust, d’après le roman de Flore Vesco
L’histoire ensuite, sympa, un peu féministe et lutte des classe. Et pourtant, l’histoire semble bien classique et patriarcale : un richissime jeune homme qui cherche une épouse et qui, pour ce faire, fait passer une test aux candidates une nuit dans son château sur dix matelas.

Qu’est-ce que ça cache ? Et qui donc s’y cache ?

Une vraie merveille !

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Ma fille, approchez, je voudrais vous conter une histoire. Voyons... par où commencer ? Oui, bien sûr, par un beau jeune homme, riche, noble, valeureux, qui voulait prendre femme. Pour choisir son épouse, il avait imaginé que les prétendantes passeraient la nuit dans un lit fort haut fait d'un empilement de dix matelas.


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Lord Handerson, un riche héritier, a conçu un test pour choisir au mieux sa future épouse. Chaque candidate est invitée à passer une nuit à Blenkinsop Castle, seule, dans une chambre au centre de laquelle se trouve un lit d'une hauteur invraisemblable. Pour l'heure, les prétendantes, toutes filles de bonne famille, ont été renvoyées chez elles au petit matin, sans aucune explication. Mais voici que Lord Handerson propose à Sadima de passer l'épreuve. Robuste et vaillante, simple femme de chambre, Sadima n'a pourtant rien d'une princesse. Et pour cause, l'histoire que va vivre cette dernière, si elle s'apparente bien à de l'amour, est loin d'être un conte de fées...