La passe dangereuse

Un roman un peu tradi avec un couple sans passion, une jolie femme esseulée, un belatre et… voilà…

La passe dangereuse de William Somerset Maugham

Mais seulement alors, le roman commence suite à la découverte de l’adultère par le cocu. Voici venu le temps de la repentance et de la morale pour une Kitty qui n’est pas sans rappeler Scarlett, une belle écervellée que les événements vont endurcir et en révéler les qualités… Au milieu de la Chine en pleine épidémie de choléra. Une histoire avec des boys, des coolies, des soeurs missionaires, la chaleur moite et un petit whisky le soir.

Un livre aussi sur la fragile condition des femmes, à la merci de leurs maris, de leurs amants et du qu’en dira-t-on

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Peu de mondes semblent aussi éloignés l'un de l'autre que ceux de Somerset Maugham et de George Orwell. On découvre pourtant avec surprise dans un essai de l'auteur de 1984, qu'il admirait «immensément.»
Maugham, pour son «talent à raconter une histoire sans la moindre fioriture.»
Au lecteur de se laisser séduire par une invraisemblable histoire d'amour dans le Hong Kong de la grande époque coloniale anglaise avec adultère, épidémie, général chinois, bonnes sœurs... Tous ingrédients que Maugham mélange avec un art consommé du récit et une maîtrise raffinée du « bel ouvrage.»