Camiothécaire-biblioneur aux lectures éclectiques. Romans, essais, biographies et autobiographies, récits de voyage, bandes dessinées, nouvelles, chroniques, témoignages… des critiques selon l'humeur
Coincée par l’orage, Hélène est obligée de passer la nuit chez ses parents.Après l’orage de Jean CremersEt les éléments se dévoilent à la mesure de l’eau qui monte. Comme une grosse lessive, l’eau permettra peut-être d’y voir plus clair, mais que ne risque-t-elle pas d’emporter avec elle ?
Un très bel album, profond et sensible, aux traits rapides et aux couleurs soignées
Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente) Dring Dring
J'arrive !
Krrk Clic
Hélène !
Salut, P'pa.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Tandis que le niveau de l'eau monte dangereusement, Hélène se retrouve prisonnière d'une maison pleine de silences et de souvenirs. Mais à mesure que l'orage gronde, c'est un autre combat qui se joue en elle : celui de briser les liens invisibles d'une vie qui l'étouffe.
Blackwater continue avec le tome deux pour s’éloigner sensiblement de Elinor et s’orienter sur les jeux de pouvoir au sein de la famille Caskey avec son omnipotente marâtre Mary-Love.
Blackwater, tome 2 : l’épique saga de la famille Caskey : La digue de Michael McDowell
Un clan qui ne cesse de s’agrandir et, en même temps, de perdre certains de ses membres mystérieusement. La digue s’installe. Elinor et la rivière semblent s’en accommoder…
Vivement la suite dans une atmosphère toujours aussi pesante. Un délice de malaise visqueux
Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente) « Seigneur, protège-nous des flots, du feu, des animaux affamés et des Nègres en fuite. » C'est par cette prière que Mary-Love commençait chaque repas.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Tandis que la ville se remet à peine d'une crue dévastatrice, le chantier d'une digue censée la protéger charrie son lot d'imprévus : main-d'oeuvre incontrôlable, courants capricieux, disparitions inquiétantes... Pendant ce temps dans le clan Caskey, Mary-love, la matriarche, voit ses machinations se heurter à celles d'Elinor, son étrange belle-fille, mais la lutte ne fait que commencer. Manigances, alliances contre-nature, sacrifices, tout est permis.
À Perdido, les mutations seront profondes, et les conséquences, irréversibles
Suite à de nombreuses incitations et à des couvertures magnifiques, j’ai fini par me lancer dans Blackwater. Et, ma foi, après ce premier tome, je ne regrette pas.
Blackwater, tome 1 : l’épique saga de la famille Caskey : La crue de Michael McDowell
Ambiance moite et puante à Perdito après une crue de la rivière et la découverte dans un hôtel au milieu des eaux de Elinor par le fils de la famille Caskey. Et il commence à se passer des choses un peu curieuses…
Ambiance étrange, presque gothique, dans le sud des États-Unis raciste au début du 20e siècle…
Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente) À l'aube du dimanche de Pâques 1919, le ciel au-dessus de Perdido avait beau être dégagé et rose pâle, il ne se reflétait pas dans les eaux bourbeuses qui noyaient la ville depuis une semaine.
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc) Alors que les flots sombres et menaçants de la rivière submergent Perdido, une petite ville du sud de l'Alabama, les Caskey, une riche famille de propriétaires, doivent faire face aux innombrables dégâts provoqués par la crue. Mené par Harry-Love, la puissante matriarche, et par Oscar, son fils dévoué, le clan s'apprête à se relever. Mais c'est compter sans l'apparition, aussi soudaine que mystérieuse, d'Elinor Dammert, jeune femme séduisante au passé trouble, dont le seul dessein semble être de s'immiscer au cœur de la famille Caskey