Blackwater, tome 3 : l’épique saga de la famille Caskey : La maison

La tension monte encore d’un cran jusqu’à un événement auquel je ne m’attendais pas du tout et une redistribution des cartes au sein du clan. Comme pour une partie d’échec, des pièces majeures disparaissent et (fin de l’analogie) de nouvelles entrent en jeu.

Blackwater, tome 3 : l’épique saga de la famille Caskey : La maison de Michael McDowell

Dans ces luttes où les femmes se battent pour le pouvoir, la rivière continue de démontrer le sien ainsi ses liens forts avec Elinor.

En pleine dépression de 1929 dans le sud des États-Unis, un épisode toujours aussi gluant et putride, une vraie réussite qui entretient avec un grand talent la soif de connaître la suite

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Miriam et Frances Caskey étaient sœurs ; elles étaient nées avec à peine un an d'écart, et vivaient dans des maisons séparées d'à peine vingt mètres, pourtant, leurs deux foyers communiquaient si peu que lorsqu'elles se rencontraient sur la propriété — ce qui était rare —, elles se montraient timides et méfiantes l'une envers l'autre.


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
1928 à Perdido. Alors que le clan Caskey se déchire dans la guerre intestine et sans merci que se livrent Mary-Love et sa belle-fille, et tandis que d'autres crises - conjugales, économiques, existentielles - aux répercussions défiant l'imagination se profilent, dans les recoins sombres de la maison d'Elinor, la plus grande de la ville, les mauvais souvenirs rôdent et tissent, implacables, leurs toiles mortelles.

Blackwater, tome 2 : l’épique saga de la famille Caskey : La digue

Blackwater continue avec le tome deux pour s’éloigner sensiblement de Elinor et s’orienter sur les jeux de pouvoir au sein de la famille Caskey avec son omnipotente marâtre Mary-Love.

Blackwater, tome 2 : l’épique saga de la famille Caskey : La digue de Michael McDowell

Un clan qui ne cesse de s’agrandir et, en même temps, de perdre certains de ses membres mystérieusement. La digue s’installe. Elinor et la rivière semblent s’en accommoder…

Vivement la suite dans une atmosphère toujours aussi pesante. Un délice de malaise visqueux.

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
« Seigneur, protège-nous des flots, du feu, des animaux affamés et des Nègres en fuite. » C'est par cette prière que Mary-Love commençait chaque repas.


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Tandis que la ville se remet à peine d'une crue dévastatrice, le chantier d'une digue censée la protéger charrie son lot d'imprévus : main-d'oeuvre incontrôlable, courants capricieux, disparitions inquiétantes... Pendant ce temps dans le clan Caskey, Mary-love, la matriarche, voit ses machinations se heurter à celles d'Elinor, son étrange belle-fille, mais la lutte ne fait que commencer. Manigances, alliances contre-nature, sacrifices, tout est permis.
À Perdido, les mutations seront profondes, et les conséquences, irréversibles