La petite Malika

Hébençaalors… J’ai encore des étoiles dans les yeux avec la petite Malika de Habiba Mahany et Mabrouck Rachedi.

La petite Malika de Habiba Mahany et Mabrouck Rachedi
La petite Malika de Habiba Mahany et Mabrouck Rachedi
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Voici la chronique de la vie aventureuse de Malika, jeune surdouée dans une cité de banlieue. Trop mature pour ses copines, trop singulière pour les adultes, Malika cultive sa différence.

Écrit à deux voix et composé en vingt-deux tableaux, La Petite Malika est un roman plein de fraîcheur et de drôlerie qui évoque avec délicatesse la difficulté de grandir.

Je vais mieux

Ca va pas mal avec je vais mieux de David Foenkinos.

Je vais mieux de David Foenkinos
Je vais mieux de David Foenkinos
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Un jour, je me suis réveillé avec une inexplicable douleur dans le dos.

Je pensais que cela passerait, mais non.

J'ai tout essayé...

J'ai été tour à tour inquiet, désespéré, tenté par le paranormal.

Ma vie a commencé à partir dans tous les sens.

J'ai eu des problèmes au travail, dans mon couple, avec mes parents, avec mes enfants.

Je ne savais plus que faire pour aller mieux...

Le quatrième mur

Difficile de se relever après le quatrième mur de Sorj Chalandon.
Sonné!

Le quatrième mur de Sorj Chalandon
Le quatrième mur de Sorj Chalandon
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
« L'idée de Samuel était belle et folle : monter l'Antigone de Jean Anouilh à Beyrouth. Voler deux heures à la guerre, en prélevant dans chaque camp un fils ou une fille pour en faire des acteurs. Puis rassembler ces ennemis sur une scène de fortune, entre cour détraite et jardin saccagé.

Samuel était grec. Juif, aussi. Mon frère en quelque sorte. Un jour, il m'a demandé de participer à cette trêve poétique. Il me l'a fait promettre, à moi, le petit théâtreux de patronage. Et je lui ai dit oui, Je suis allé à Beyrouth le 10 février 1982, main tendue à la paix. Avant que la guerre ne m'offre brutalement la sienne...»
S. Ch.

Twilight Fascination

Finalement, Twilight, ça pourrait presque fascinant si des dialogues pareils étaient plus fréquents.
Hélas… Sans hésitation, aucune tentation pour la révélation.

Twilight, tome 1 : Fascination de Stephenie Meyer
Twilight, tome 1 : Fascination de Stephenie Meyer
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Isabella Swan, 17 ans, déménage à Forks, petite ville de l'Etat de Washington pour vivre avec son père. Au lycée, Bella est attirée par une étrange fratrie de deux filles et trois garçons. Elle finit par tomber amoureuse de l'un d'eux Edward Cullen. Naît alors entre les deux adolescents une relation sensuelle et dangereuse.

Ce genre de choses

Dans son livre de mémoires et d’anecdotes, Jean Rochefort cite Casanova…
Belle époque?

Ce genre de choses de Jean Rochefort
Ce genre de choses de Jean Rochefort
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
«Longtemps j'ai joué avec les mots des autres.

J'ai voulu jouer avec les miens et puis tardivement, j'ai constaté que mes mots les uns derrière les autres racontaient des histoires.

Alors pourquoi pas ?»

J. R.

Art nègre

Il faut bien payer le loyer.

Art nègre de Bruno Tessarech
Art nègre de Bruno Tessarech
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Hésitant velléitaire, perdu, Louis ne parvient plus à écrire. Même sa compagne aimante, Olivia, a déserté le champ de ruines qu'est devenue son existence.

Un beau jour, un vieux copain éditeur lui propose de rédiger les mémoires d'une célébrité. Il faut bien gagner sa vie, Louis accepte donc...

Dans la veine de La Femme de l'analyste, Bruno Tessarech signe un nouveau roman, autobiographique et drôle, sur l'écriture - ses vérités et ses mensonges

Pourquoi lire

Bon, j’ai pas encore fini et c’est un peu érudit pour moi, mais celle-là, elle m’a bien fait rigoler.

Pourquoi lire ? de Charles Dantzig
Pourquoi lire ? de Charles Dantzig
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
« La lecture n'est pas contre la vie. Elle est la vie, une vie plus sérieuse, moins violente, moins frivole, plus durable, plus orgueilleuse, moins vaniteuse, avec souvent toutes les faiblesses de l'orgueil, la timidité, le silence, la reculade. Elle maintient, dans l'utilitarisme du monde, du détachement en faveur de la pensée. Lire ne sert à rien. C'est pour cela que c'est une grande chose. Nous lisons parce que ça ne sert à rien. »

Des conseils, des douceurs, des rosseries, et une conception de la lecture comme « soeur de la littérature », toutes deux marchant ensemble dans un combat contre le temps. Une philosophie de la lecture qui fait s'exclamer, s'enthousiasmer, applaudir, et qui ne donne qu'une envie : (la) relire

Claustria

Infect! Peut-être pas indispensable. A lire avec des sacs à vomi.
Brrr sordide.

Claustria de Régis Jauffret
Claustria de Régis Jauffret
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Platon, le mythe de la caverne. Des prisonniers qui ne verront jamais de la réalité que des ombres d'humains projetées sur la paroi de la grotte où ils sont enchaînés. Dans le souterrain les enfants n'ont vu de l'extérieur que les images tombées du ciel qui leur parvenaient par le câble de l'antenne.

Le mythe a traversé vingt-quatre siècles avant de s'incarner dans cette petite ville d'Autriche avec la complicité d'un ingénieur en béton et celle involontaire de l'Écossais John Baird qui inventa le premier téléviseur en 1926.

R. J.

L’écrivain de la famille

La vie est une succession de choix, encore faut-il pouvoir imposer les siens.
Une magnifique histoire d’histoires manquées.

L'écrivain de la famille de Grégoire Delacourt
L’écrivain de la famille de Grégoire Delacourt
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Je venais d'avoir le bac de justesse. Ma soeur avait quatorze ans, elle écoutait Sheila chanter Hôtel de la plage avec les B. Devotion, allongée sur son lit. Il y avait des posters de Richard Gere et de Thierry Lhermitte sur les murs. Elle croyait au prince charmant. Elle avait peur de coucher avec un garçon, à moins qu'il ne fût le prince. Elle m'avait demandé si ça avait été bien ma première fois et j'avais répondu, d'une voix douce, oui, oui, je crois que c'était bien, et elle avait eu envie qu'on dise ça d'elle un jour, juste ça, oui, oui, c'était bien.

Et puis notre frère était entré dans la chambre, il nous avait couverts de ses ailes et nos enfances avaient disparu.

À sept ans, Édouard écrit son premier poème, quatre rimes pauvres qui vont le porter aux nues et faire de lui l'écrivain de la famille. Mais le destin que les autres vous choisissent n'est jamais tout à fait le bon...

Avec grâce et délicatesse, Grégoire Delacourt nous conte une histoire simple, familiale, drôle et bouleversante