Julie Birmant propose ici une Isadora Duncan emportée par sa soif de vivre, un peu illuminée et capricieuse, obsédée par la gloire et rencontrant le grand monde à la recherche de notoriété.
![](https://www.noid.ch/wp-content/uploads/2021/12/isadora-1-scaled.jpg)
Malheureusement, peu de danse et d’envolée alors que le dessin de Clément Oubrerie est absolument parfait pour ces représentations.
Une artiste radicale qui tente d’imposer sa vision de la danse, peut-être un peu trop moderne pour l’époque
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Isadora Duncan a vingt ans et c'est une énigme.
Comment cette Américaine sans le sou, exaltée, aussi libre que naïve, parvient-elle au sommet de la gloire en 1903 ?
Scandaleuse sans le savoir, petite flamme que rien ne peut éteindre - sauf peut-être une écharpe trop longue - elle danse sa vie et ne ressemble à personne.
La musique la traverse, Chopin ou Wagner, elle bouge en s'inspirant des vagues, de la Grèce antique, de Rodin.
Que vient donc voir la foule qui se presse à ses spectacles ? Un phénomène, une artiste aux pieds nus ou une guerrière vaillante, livrant bataille contre l'Histoire et ses tragédies ?
Isadora Duncan a vingt ans et c'est une énigme.
Comment cette Américaine sans le sou, exaltée, aussi libre que naïve, parvient-elle au sommet de la gloire en 1903 ?
Scandaleuse sans le savoir, petite flamme que rien ne peut éteindre - sauf peut-être une écharpe trop longue - elle danse sa vie et ne ressemble à personne.
La musique la traverse, Chopin ou Wagner, elle bouge en s'inspirant des vagues, de la Grèce antique, de Rodin.
Que vient donc voir la foule qui se presse à ses spectacles ? Un phénomène, une artiste aux pieds nus ou une guerrière vaillante, livrant bataille contre l'Histoire et ses tragédies ?