La Nonne

Tout y passe, par tous les orifices et dans tous les sens, c’est sale, gras, il y a du jus, des odeurs, de la matière et bien plus encore.

La Nonne de Comte d’Irancy

Amis des curiosités, soyez bienvenus : sado, maso, zoo, pédo, copro, uro, homo, géronto, clérico… (j’en oublie certainement) tous trouveront leurs plaisirs. C’est absolument porno et finalement… c’en devient même drôle, devant tant d’excès et d’extases. Car oui, et c’est possiblement là où ce livre touche : il y a du plaisir, peu ragoutant, certes! Mais la jouissance est partagée (bon, pour la zoo… je ne sais pas) et se défait de toute convention, morale et religiosité. Une ode (d’un autre temps) bien cracra à la liberté.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Imprimé à 250 exemplaires à la fin des années 40, on sait peu de choses sur La Nonne, texte d'une franche pornographie, joyeuse et iconoclaste, dans la pure tradition des textes érotiques anticléricaux. Ce roman raconte la découverte de la sexualité par deux jeunes couventines, Agnès et Martine, initiées par une mère supérieure nymphomane et un abbé vicieux. Emportées par les délices de la chair, les deux novices vont se lancer à corps perdu dans une exploration de tous les domaines du plaisir...
pour finir putains dans la capitale.
Un roman truculent dans un style vif et endiablé qui enchaîne les scènes les plus crues, tant pour choquer le lecteur que pour le troubler... ce qu'il réussit fort bien d'ailleurs