L’abbé C.

Obscur et confus, inconsistant et vaporeux. Oeuvre philosophique ou roman raté, délires ou lucidité extrême ?

L’abbé C. de Georges Bataille

Franchement, je ne sais pas, c’est chiant et j’ai rien compris. Zou, désolé pour l’outrage si je suis passé à côté, mais c’était un peu too much pour moi.

Dommage, le titre m’avait semblé promesse d’humour ou de drôlerie

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
L'horreur et l'impatience à l'égard du désespoir et de l'absence de volonté, l'obscure résolution de parvenir à la situation la plus scabreuse, la plus humaine à force d'échapper à la règle humaine - en même temps la plus fortement consciente - font de l'érotisme aigu d'une histoire banale la même chose qu'un rire ou des larmes irrépressibles