Les catastrophobes : rions avec la fin du monde

Rions ensemble avec la collapsologie !

Les catastrophobes : rions avec la fin du monde de Didier Tronchet

Monsieur et Madame tentent d’imaginer la survie. Madame à les pieds sur terre (ce qu’il en reste) et Monsieur semble avoir un peu plus de peine.

C’est rigolo, très premier degré, pas vraiment inventif mais facile à lire et arrache de temps à autre un sourire en coin.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Cet album traite avec humour de la crise écologique en mettant en scène un couple qui s'oppose sur l'attitude à adopter face à l'effondrement tant redouté. Pour elle, il faut tout abandonner pour aller vivre dans un refuge, alors que lui est réticent à quitter son confort

Après le monde

Oui, c’est bien foutu, ça fait peur, c’est vraisemblable et c’en est même effrayant !

Après le monde de Antoinette Rychner

Mais fait-on des bons romans avec du premier degré ?

Je suis resté coincé sur cette énumération plausible d’un effondrement qui s’est – pour moi – perdue dans une volonté d’exhaustivité du scénario sans y trouver un envol romanesque qui aurait pu donner vie à ce livre (au demeurant glaçant de réalisme quant à la fragilité de la société économique)

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
2022. Un cyclone ravage la côte ouest des États-Unis. Après des faillites en cascade, les finances américaines s'écroulent, entraînant avec elles le système mondial. En quelques mois, le monde tel que nous le connaissons est englouti.

Huit ans plus tard, de nouvelles formes de sociétés émergent. Deux femmes, à la veillée, racontent l'épopée de l'humanité avant et après la catastrophe. Saura-t-on inventer, au coeur du désastre, d'autres façons de vivre ensemble et d'habiter le monde ?

Un roman visionnaire et inspirant, hanté par une peur qui traverse toutes les sociétés occidentales : celle de l'effondrement