Ambassadrice de la marque

Ambassadrice (c’est à dire hôtesse d’accueil avenante en jupe courte) pour une grande marque de voitures, voilà un boulot guère motivant mais plutôt bien payé.
Sourire banane jusqu’aux oreilles pour dix jours.

Ambassadrice de la marque de Joséphine de Weck

Une couverture qui signale un roman mais qui aurait du indiquer un reportage ou un documentaire. En effet, pas d’intrigue, pas de suspense, pas de romance, pas d’aventure. Un livre avec une belle écriture mais aussi triste que le Salon de l’auto.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Hôtesse au Salon de l'automobile de Genève, Marie nous livre son expérience avec une sincérité désarmante. Dix jours entre émerveillement et ennui. Dix jours ponctués de rencontres insolites : un charmant team leader, un quinquagénaire en quête de nouvelles sensations, un nettoyeur bulgare, un pigeon captif. Dix jours de flottement dans ce microcosme que la jeune femme décortique. Un système qui ne la laisse pas indemne et la renvoie à ses propres incertitudes. Travailler au Salon de l'auto de Genève est le job rêvé d'un grand nombre d'étudiants. En une édition, le salon le plus fréquenté de Suisse attire plus de 650000 curieux. Le premier roman de Joséphine de Weck offre au lecteur une vision nuancée de cette machine impeccablement huilée qui désenchante les uns tout en offrant une ascension fulgurante à d'autres. L'auteure traite avec finesse de la place de chacun dans notre société de consommation