Delirium

Bien souvent dans les romans de gare mal fichus, les rêves servent de cache-misère aux auteurs pour trouver une fin à leurs abracadabrantesques délires. Mais là, non. C’est pas Inception mais c’est un peu cul, un peu valaisan, pas assez gore et plutôt drôle.

Delirium de Louise Anne Bouchard

Un détective privé à la recherche d’infos sur une ancienne disparition mystérieuse, huit beautés marchandes de leurs charmes au Dolly Pop.

Une histoire qui n’est pas sans rappeler celle du célèbre portrait d’Oscar le Sauvage.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Jérôme boit trop, baise trop, et s’est fait virer de son job.
Il va se refaire une santé en Valais. Et là, encore, il baise trop, boit trop.
Dans son cauchemar, on l’enlève et on le malmène : séquestration et sévices pour l’empêcher de toucher à la légende du Dolly Pop, la mystérieuse disparition de huit beautés qui gagnaient leur vie en Valais en vendant leurs charmes et parfois leurs petites culottes