Le passeur

Hermann aime bien les mondes post-apocalyptique et là, Yves H lui a taillé une histoire sur mesure. Il est aussi un grand promoteur de la loi du talion dans nombre de ses réalisations. Là encore, le scénario est parfait.

Le passeur de Yves H et Hermann

A la recherche de Paradize, un couple donne de l’argent au passeur. Mais pas assez. Sam va devoir trouver un peu plus. Le début d’un engrenage malsain dans un monde en décomposition.

C’est bien, mais on s’attendrait presque à voir débarquer Jeremiah et Kurdy débarquer pour venger tout le monde. Pas nécessaire cette fois.

Bien court pour être bon

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
- On va pas tout plaquer juste parce que l'endroit te plaît pas. Pas si près du but ! Pense à ce qui nous attend là-bas. Le Paradize, la belle vie, tout ça... Tu verras, tu le regretteras pas.

Sam et Sam, un couple perdu dans l'immensité désolée d'un monde post-apocalyptique. Au bout de la route, la promesse d'un monde meilleur. Pour une poignée de billets, le passeur doit les mener à bon port, quelque part au-delà du phare sans mer où il a élu domicile. Mais derrière toute promesse se cache souvent un mirage. Derrière tout rêve s'impose la réalité.
À coups de flingue, Sam saura-t-il sauver Samantha de son cauchemar ?
Aux confluents du thriller, de l'anticipation et du fantastique, Yves H. signe ici son scénario le plus noir, où seul l'amour d'un homme et d'une femme parvient à éclairer d'une lueur d'humanité un monde voué au désespoir. Sous l'impulsion de cette partition sépulcrale, Hermann se réinvente une nouvelle fois, jouant de gammes chromatiques exacerbées, sombrement flamboyantes