Machin

Un livre de souvenirs qui commence comme un délicieux cadeau à Casablanca dans le garage de Cloclo, fils de Alfred Machin, réalisateur de films muets français.

Machin de Maryline Desbiolles

Et tout d’un coup, départ pour le Mans et la rencontre de Suzanne…comme s’il n’y avait pas eu assez de matière avec les Machin.

Très curieux, cette bascule, fallait-il vraiment, zut.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
« Au début de ce mois de juillet, ma poitrine s'est dilatée, j'ai éprouvé de la joie en arrivant à Nice dont le nom si bref, si léger a troué tant de fois mon enfance. »

De son enfance à Casablanca, André a retenu les heures passées dans le garage de monsieur Cloclo, surnom de Claude Machin. Ce dernier a raconté au petit garçon émerveillé, des après-midi durant, à l'avant de voitures immobiles, l'histoire extraordinaire de son père, Alfred. Alfred Machin, pionnier, réalisateur prolifique, passionné par les animaux qu'il dressa pour le cinéma. Celui-là même qui embarqua toute sa famille dans sa grande aventure cinématographique, dont l'apogée fut l'installation dans les studios Bon Voyage à Nice, ville magnétique où tout commence et tout finit.

À travers la trajectoire discrète d'André, de Casablanca à Nice, de 1950 à aujourd'hui, Maryline Desbiolles ranime l'incroyable figure d'Alfred Machin et entrelace ces deux destins de son écriture lumineuse