Ne m’oublie pas

D’un sujet dur et triste Alix Garin parvient à créer une bande dessinée douce et tendre, une prouesse !

Ne m’oublie pas de Alix Garin

La grand-mère de Clémence est dans un EHPAD, malade avec un Alzheimer. Elle y est malheureuse et désoeuvrée. Et pourtant, sa fille (la mère de Clémence) ne trouve pas d’autre solution. Clémence enlève sa grand-mère pour un road-trip, direction la maison de son enfance.

Un voyage rocambolesque et haut en émotions. Une réussite toute en poésie

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Diderot. Jacques le fataliste.
C'est que, faute de savoir ce qui est écrit là-haut...
On ne sait ni ce qu'on veut ni ce qu'on fait...


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
- Marie-Louise, embrasse la mer pour moi.
C'est la toute dernière chose que ma mère m'ait dite.
- Tu sais quoi, Mamy ? Et si on y allait vraiment ?

La grand-mère de Clémence souffre de la maladie dAlzheimer. Face à son désespoir, elle prend la décision de l'enlever de la maison de retraite et de prendre la route en quête de l'hypothétique maison d'enfance de sa mamie. Une fuite, une quête, un égarement, l'occasion de se retrouver... À moins que ce ne soit des adieux ?