La forteresse impossible

Un jeune geek et deux copains et… Vanna White en Une de Playboy! Mais comment faire pour obtenir un exemplaire quand on a quatorze ans et qu’on habite un coin un peu paumé? Et si Mary, la fille du kiosquier, une geekette elle aussi pouvait les aider?

La forteresse impossible de Jason Rekulak
La forteresse impossible de Jason Rekulak

C’est drôle et ça sent l’adolescence, les années quatre-vingt, le Commodore 64, la montée des hormones et les premiers boutons avec une couv… plutôt réussie !

Et ça, c’est Vanna, et c’est cadeau

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
À Wetbridge, l'Aisselle du New Jersey, Billy et ses amis Alf et Clark coulent des jours heureux. Ils passent leurs soirées ensemble à regarder la télé en buvant des litres de milk- shake, se lancent dans d'interminables parties de Monopoly ou des débats existentiels (de Springsteen ou Billy Joel, qui l'emporterait dans une bagarre ?). Tout ça quand ils ne jouent pas au jeu de strip poker développé par Billy sur son ordinateur.

Mais voilà qu'un jour de mai 1987, Vanna White, la sublimissime animatrice de La Roue de la fortune, fait la une de Playboy. Dès lors, tout va changer. Pour les trois garçons désespérément inexpérimentés en matière de femmes, se procurer la revue devient une priorité. Or, dans l'Amérique puritaine de Reagan, quel commerçant se risquerait à vendre un magazine érotique à des gamins de quatorze ans ? Alors que les amis mettent au point un plan pour le voler, ils rencontrent Mary, la fille du seul - et irascible - kiosquier de la ville. Passionnée comme Billy d'informatique, elle sympathise avec ce dernier et lui propose de l'aider à développer son propre jeu vidéo. De leur côté, Alf et Clark se disent qu'ils pourraient tirer profit de cette complicité pour parvenir à leurs fins...

Lettre d'amour aux années 1980, aux geeks, et à tous les « inadaptés » de la terre, La Forteresse impossible explore les eaux troubles de l'adolescence, le frisson des premières fois.

Nostalgique et bourré d'humour, ce premier roman est en cours de publication dans une quinzaine de pays

Je suis un homme

Il est très difficile d’apprécier un livre dans lequel il est impossible de s’identifier à un des protagonistes. Et plus encore si le narrateur et personnage principal est un froid manipulateur cynique désabusé.

Bon, c’est pas mauvais ou mal écrit, non. Mais il ne se passe pas grand chose et j’ai déjà oublié la moitié.

Je suis un homme de Marie Nimier
Je suis un homme de Marie Nimier

Et il est beau! Bof.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
«J'aime les femmes. J'envie leur aptitude à jouir plusieurs fois d'affilée, même si avec moi, il faut l'avouer, ce n'est pas arrivé souvent. Est-ce ma faute si je m'endors tout de suite après l'amour ?

Je suis beau, tout le monde s'accorde à le dire, de cette beauté rugueuse que je tiens de mon père. Zoé et Delphine prétendent que je suis un macho, dans le bon sens du terme (sic), et les voilà qui dressent l'inventaire de mes petits défauts. Si elles ont tant de choses à me reprocher, pourquoi parlent-elles de moi avec des étoiles dans les yeux ? À leur place, je me serais quitté depuis longtemps.»