Dommage de gâcher un joli titre. Mais c’est brouillon, confus.
Il y a des jolis passages, des belles trouvailles, mais à trop rechercher la belle phrase, l’économie des mots et la pureté de l’émotion, Corinne Desarzens en devient pingre et m’a laissé un peu… désemparé.
Une énorme fleur de chair, insubmersible. J'avais plus de soixante ans quand j'ai pris mon premier bain avec un homme. Un bain drôle, effarant, comme si j'avais fait ça n'importe quel jour de ma vie.
Des parties génitales d'un amant au velouté sublime d'un vin rouge, ces petites proses truculentes ou poétiques nourrissent le terrain fécond de l'amour et de l'humour