Testosterror

Et si le plus gros problème de l’humanité venait d’une paire de couilles ?

Testosterror de Luz

Surpris par une épidémie qui s’attaque à leur production hormonale, les virilistes paniquent !

C’est drôle, délirant, absurde, extrême et pourtant… tellement crédible !

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Le dimanche, chez moi, ça a toujours été sacré.
Grasse matinée, grillades, rosé bien frais, sieste devant la télé...
Une seule règle d'or...
.. Jamais de sport.


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
« Tu ne pleures pas, Jean-Pat, tu sues des larmes de colère. »

Un virus fait chuter le taux de testostérone des hommes... et se répand sur la planète !

Jean-Patrick, concessionnaire automobile dans la zone d'activité commerciale de Saint-Pierre-Le-Caillou, panique et tente de se réfugier au sein de la secte masculiniste dirigée par Jo, son coach sportif.

Contaminé par le virus, Jean-Pat voit sa vision du monde changer... Mais alors qu'il se détache du mouvement viriliste, son fils s'y engouffre.

Notre héros parviendra-t-il à sauver son enfant des griffes d'un gourou macho ? Privée de testostérone, l'humanité sombrera-t-elle dans le chaos ? Quel secret la part de féminité de Jean-Pat renferme-t-elle ? Et si la vérité résidait dans les yeux de Champion, son irrésistible chien priapique ?

Entrez dans la danse

Que se passe-t-il chez Jean Teulé ? Après les chefs d’oeuvre des Darling, Montespan ou du magasin des suicides voilà qu’il se perd dans des histoires, certes truculentes et dégueulamortichichiasses au possible… mais sans ressort, sans rebondissements et au déroulé mou comme un long fleuve de morve tranquille.

Entrez dans la danse de Jean Teulé
Entrez dans la danse de Jean Teulé

L’écriture est toujours belle, les personnages fort goutus… mais la trame un peu faiblarde. Zut.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Une étrange épidémie a eu lieu dernièrement
Et s'est répandue dans Strasbourg
De telle sorte que, dans leur folie.
Beaucoup se mirent à danser
Et ne cessèrent jour et nuit, pendant deux mois
Sans interruption,
Jusqu'à tomber inconscients.
Beaucoup sont morts.

Chronique alsacienne, 1519