Un regard touchant sur la solitude et la violence sournoisement douce d’une perte de pied. Une rupture, la solitude, l’isolement…
Avec une question qui s’installe dès le début… jusqu’où peut-on tomber ?
Un regard touchant sur la solitude et la violence sournoisement douce d’une perte de pied. Une rupture, la solitude, l’isolement…
Avec une question qui s’installe dès le début… jusqu’où peut-on tomber ?
Un livre tout en douces rondeurs, l’histoire de sa vie, de son enfance et de celle de ses parents.
Une famille de « rêveurs », une tendre excentricité qui peut pourtant devenir une douce violence ou même une froide tyrannie.
Et c’est parfois drôle, toujours touchant.
Des ados qui partent en vrille, des parents qui merdent ou n’y comprennent pas grand chose, des peurs et des démissions, un entourage absent ou maladroit… le chaos s’installe, grossi, qui pourra arrêter la descente annoncée ?
Et l’écœurement devant ce cri que personne n’arrive à lancer devant une situation où chacun projette ses propres peurs et fêlures.
Et ce titre magnifique, ces loyautés qui reviennent tout au long du livre. Loyal oui, à qui, à quoi ?
Une grosse bousculade.
Ça ressemble à du feel-good… Et c’est quand même un petit peu plus que ça, même si elle va très bien. L’histoire dure, douce et tendre d’une inadaptée sociale au lourd passif. Une vie terne et perdue dans la solitude noyée à la vodka.
Avec une jolie dédicace aux amateurs peu soigneux des bibliothèques qui m’a fait bien sourire dans ce livre qui ne manque pas d’humour.
Et une méchante coquille de la traductrice, Aline Azoulay-Pacvoñ qui failli clore cette lecture prématurément. Madame, lorsque les docteurs (esses!) sont des femmes… parlez d’elles, s’il vous plait.
Ça commence comme un réquisitoire contre les livres de développement personnel et la mode de l’impératif du bonheur. Puis de pensées en remarques, les psy passent sur le divan. Comme une ode au droit à la tristesse, à la beauté du cafard, au romantisme de la dépression et à la créativité du mal-être.
Rigolo, désabusé et plutôt cynique, un malheureux livre qui fait sourire.
Une couverture magnifique et hors sujet.
La narration (pénible) d’une difficile séparation, d’un deuil amoureux impossible, d’une descente et de la perte de contrôle.
Une écriture difficile (chiante?), mais une très jolie couv’
Dès le début c’est à la fleur de la peau, et pas épaisse la couenne, c’est même directement à la viande que ce livre parle. Une dépression, anorexie… et internement en HP, hôpital psychiatrique.
Et là, c’est le lent travail d’un retour à la vie et au soleil, avec ses hoquets, rechutes, espoirs, folies, envols, amours et sentiments. C’est dur et tendre.
Et la suite, c’est ici, et c’est toujours aussi sensible.
Sans avoir lu la première partie, Bianca, j’ai mis du temps à comprendre et entrer dans une histoire où tout se mélange… Comme dans sa tête.
Une arrivée à New-York, dans toute la rude violence froide d’une ville anonyme.
Mauvaises rencontres et sales plans trash pour la belle Bianca, mannequin anorexique et ses fantômes.
Une passion, foudroyante, qui emporte tout, qui balaie tout, et qui relègue ce qui resterait à d’insignifiantes futilités. Une femme dans la tempête, un mariage qui explose, un amant insaisissable et la douleur qui broie la raison.
La passion qui embrase les vies et qui ne laisse que des cendres.
Trouver l’amant de sa femme au milieu du salon en rentrant, cela doit pincer un peu au niveau du transit intestinal. Mais quand l’homme est mort et sa femme dans la baignoire, il doit être difficile de conserver son calme. Surtout lorsqu’elle vous annonce qu’elle vous quitte, vous laissant seul avec le macchabée dont vous ne connaissez pas même le nom. Et que faire de ce corps encombrant ?
S’en suit une rencontre trouble avec un gendarme à la retraite soupçonneux, insaisissable et étrangement proche. Comme un poker menteur au règles floues à la lenteur étudiée avec un Colombo atone.