Des mots choisis pour des chroniques drugs’n rock !

Des belles pages, souvent très drôles mais qui peinent à faire un bon livre. Zut.
Bon, j’me suis bien marré quand même, hein !
« Il était extatiquement évident que j'allais devenir écrivain. »
Des mots choisis pour des chroniques drugs’n rock !

Des belles pages, souvent très drôles mais qui peinent à faire un bon livre. Zut.
Bon, j’me suis bien marré quand même, hein !
Encore un livre sur des vies auxquelles les personnages n’arrivent que difficilement à se raccrocher, empêtrés dans leur spleen et leurs introspections.

Peux de mots et tous à leurs places. Pourtant, même si c’est l’héroïne qui parle, il me reste un sentiment désincarné.
Prenez un sexe-addict, une toxicomane, un drogué du sport, un joueur compulsif, une accro du shopping, une alcoolique et un curé cocainomane. Mettez les tous ensemble pour une thérapie de groupe avec une psy pas trop compétente et mélangez bien avec une bonne dose d’humour.

Il y en a un petit peu plus, je vous le mets quand même?
Un premier roman qui donne déjà le ton. Calembours, second degré, alcool, sexe, coke, fric et inconsistance. Drôle et agaçant.

Un livre sur le sexe et la mort où malgré l’amour de la mère disparue tellement présente, le corps continue à vivre. Un cri tendre et violent.

Vernon Subutex, le messie post-rock s’égare dans le tome 2. Pourtant, l’écriture de Virginie Despentes est cristalline. J’en reste coi.

Une critique ici
Scotché par Vernon Subutex 1 de Virginie Despentes. Je pense que je ne vais pas beaucoup sortir ce weekend. Finalement cette neige ne me dérangera pas trop!

Une galerie de portraits qui tissent une histoire glauque de bord de mer, c’est Peine perdue de Olivier Adam, et c’est pô mal du tout, et très bien construit!

Avec un jeu de mots trop facile mais combien évident, un livre vraiment barré qui nous emmène dans les flots miraculeux d’une femme fontaine.
