Tombé sur des inédits de Gotilb…

C’est trop joli.
De la distorsion des rapports familiaux et amoureux par le fric, tout plein de fric, beaucoup, très! Et là, comment ça se passe pour cette jeunesse dorée en quête de sentiments, d’amour et de sincérité?
Un roman à plusieurs voix. Drôle et sans pitié pour ces pauvres choux blindés qui rament dans leurs riches aberrations.
Ils seraient presque à plaindre.
– Un petit bémol, pour une fin un peu nunuche…
Ode au bon vieux temps, aux traditions, au pinard et aux sabots de bois.
Et bien sûr, avec Carmet et De Funès en mémoire.
Caroline Valentiny nous emmène au plus profond de plus rien, de son incompréhension d’elle même, du vide et la confusion qui l’envahit à la fin de son adolescence. Elle nous raconte la douleur, les médecins, les médicaments avec – en écho – sa mère qui craint de la voir disparaitre dans la dépression, l’anorexie et les traitements inutiles.
Des longueurs, malheureusement. Mais une histoire d’amour puissante. L’envol de deux femmes dans l’après-guerre des années 20 à Londres.
Et puis après, un drame, bien amené, qui donne une nouvelle couleur au roman, plus sombre et plus intense.
Ca casse pas trois pattes à un canard, mais c’est plutôt rigolo. Et si les bibliothécaires étaient une secte de méchants désinformateurs?
Attention, dans ce livre, les enfants élus magiciens ont troqué leurs baguettes contre des lunettes… Quelle pirouette!
Pas assez d’énergie pour lire les suites.
Un livre d’actualité sur Google, Facebook, le big-data, l’entertainment et les lois antiterroristes.
Flippant!
De la pure chick-lit pour quadras. Listes et humour préménopausé au kilo… de cellulite.