Nora Hamzawi publie une cinquantaine de chroniques pour ses 35 ans. Peut-être que 35 auraient été parfaites.
C’est drôle, plein d’auto-dérision, d’humour dépressif et désabusé, une pure et très bonne chick-lit.
Mais voilà, à la longue… j’ai trouvé ça un peu long
Avec l'autodérision et la lucidité qui la caractérisent, Nora continue d'explorer l'époque et d'en subir les absurdités.
Des cigarettes en chocolat à la clope électronique, du Nokia 3310 à l'Iphone, de Snake à Instagram, elle nous livre le récit de son passage à l'âge adulte sans passer par la case Tinder.
Partagée entre l'envie d'avoir des likes et la nostalgie du temps d'avant les réseaux sociaux, elle se demande comment évoluer sereinement dans un monde où tout ce qui nous entoure n'existait pas au moment de se construire.
Parfois mélancolique, souvent acide et toujours drôle, Nora dresse un portrait-robot sans fard de nos névroses à tous