Cruelle

Allongée dans un lit d’hôpital, Florence (oui, c’est autobiographique) a peur de sortir

Cruelle de Florence Dupré la Tour

Et allongée elle repense à son enfance, ses frères et sœurs (et sa jumelle), l’église et surtout, son rapport aux autres et aux animaux. Cochons d’Inde, lapins, poissons, poules, oies, tortues, chats, chiens… tout ces animaux aimés, mutilés et torturés (ou tués)…

Une bande dessinée très curieuse qui la met un peu mal et questionne sur la cruauté enfantine et le « que penser de l’enfant que j’étais » ?

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Le spectacle de la vie
Je suis à l'hôpital. J'ai 26 ans. Chambre 203. Tension à 13/8. Il est 11 heures 37. Il pleut un peu dehors.


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Enfant :
Être humain dans sa période de développement située entre la naissance et la puberté.

Animal :
Être vivant organisé, sensible et capable de mouvement.

Cruauté :
Plaisir que l'on éprouve à voir un être vivant souffrir ou à lui infliger cette souffrance.

Une histoire vraie

La bête

Un dessin magnifique dans une très belle édition soignée avec un scénario qui donne très envie de voir la suite comme un préquel aux aventures du Marsupilami avec Spirou et Fantasio.

La bête de Zidrou et Frank Pé

Un premier tome absolument frustrant et peut-être un peu léger. Heureusement, seuls deux tomes sont prévus !

Un superbe hommage qui fait peur, qui parle de maltraitance et de traite d’animaux sauvages, de harcèlement dans une Belgique violente et anxiogène au sortir de la guerre.

Avec le tome 2

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
L'espèce existait bien avant qu'on la nomme Marsupilami. Véritable défi pour les zoologues, doté d'une queue démesurée, l'animal possède aussi une force impressionnante, une grande intelligence, un don d'empathie et... un appétit féroce !

Voici le récit, authentique, d'une bête égarée dans la Belgique pluvieuse de 1955

Manger moins (et mieux) de viande

Un petit livre aux illustrations rigolotes qui prend le parti de faire bouger les lignes en évitant les postures absolutistes et intégristes. Certes, il en résulte possiblement des légères incohérences (pas le lait sans élevage des vaches), mais même si on peut toujours souhaiter « moins », changer un peu, c’est peut-être déjà beaucoup.

Manger moins (et mieux) de viande de Gilles Daveau
Manger moins (et mieux) de viande de Gilles Daveau

Idéal pour trouver une motivation et commencer une réflexion.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
La viande soulève des débats passionnés. Alors, pour passer à l'action, dédramatisons ! Entre les postures radicales « viandard » ou « vegan », mille voies sont possibles et celle qui convient à l'un ne sera jamais tout à fait la même que pour son voisin.

Si plus personne aujourd'hui ne peut ignorer qu'il est urgent de s'emparer de ce sujet dans notre quotidien, on oublie trop souvent, en effet, cette notion essentielle : à chacun de le faire à son rythme et à sa manière. Comment ? Cet ouvrage apporte des réponses simples, dont la force est de s'appuyer, précisément, sur nos différences.

Il nous entraîne dans un passage à l'acte personnalisé et libérateur. Où le « moins » se transforme en « plus » : plus de saveurs, de couleurs et de nutriments. Et où le « mieux » permet enfin de rendre sa noblesse à un aliment « de choix », issu du vivant : la viande.

Une démarche d'ouverture, bien plus que de vertu, qui nous amène à renouer avec cette longue histoire commune qui lie les hommes et les animaux