Faut pas prendre les cons pour des gens, tome 1 et 2

Immigration, capitalisme, Pôle emploi, pauvreté, tourisme sexuel, système de santé, SDF et terrorisme… Voilà de la BD politique à l’humour brillamment absurde !

Faut pas prendre les cons pour des gens, tome 2 de Emmanuel Reuzé et Nicolas Rouhaud

Et BIM !

Et un tome 2 encore meilleur que le premier !

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Tome 1
Peut-on remplacer les enseignants par des distributeurs de diplômes ? Faut-il expulser du territoire son bébé ne parlant pas français quand on est patriote et républicain ? Doit-on incarcérer de futurs criminels pour éviter qu'ils ne commettent de futurs crimes sur de futures victimes ?
Retrouvez toutes les réponses à ces questions dans Faut pas prendre les cons pour des gens, un album d'humour absurde sur la bêtise ordinaire.
Dans ce livre, Reuzé et son fidèle compagnon Rouhaud, n'épargnent rien ni personne pour notre plus grand plaisir. Le dessin de Reuzé singe la BD contemporaine qui n'hésite pas à reprendre le même dessin sur plusieurs cases. Comme vous l'aurez compris, ce bougre ne prend vraiment rien au sérieux, pas même son éditeur !
Emmanuel Reuzé tord et maltraite les clichés de la société et livre une BD hilarante et grinçante à souhait

Tome 2
Faut-il une dérogation pour insulter un patron raciste ?
Peut-on passer des vacances sur le continent de plastique ?
Peut-on se faire rembourser un enfant défectueux ?
Retrouvez toutes les réponses à ces questions dans Faut pas prendre les cons pour des gens, un album d'humour absurde sur la bêtise ordinaire

Thérapie de groupe, tome 2 : Ce qui se conçoit bien

Jean-Eudes de Cageot-Goujon ne semble pas vraiment s’en sortir…

Thérapie de groupe, tome 2 : Ce qui se conçoit bien
par Manu Larcenet

Après l’étoile qui danse, voilà qu’il se frotte à Nicolas Boileau…

La chute continue, vivent les drogues, le western, Francis et les albatros… Car c’était quand même mieux avant !

Le tome 1 est là, le tome 3 est ici

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Le premier tome de "Thérapie de Groupe", "L’Étoile qui danse", mettait en scène un auteur de bande dessinée en plein désarroi à la recherche de l'inspiration. Dans le second tome de cette trilogie, "Ce qui se conçoit bien", l'auteur, toujours en panne, poursuit sa quête de l'idée du siècle afin de redevenir l'auteur à succès qu'il était. Après ses échecs répétés il est désormais hébergé par la Clinique des Petits Oiseaux Joyeux (" Clinique Psychiatrique pour fous, gros et demi-gros.").
Il y expérimente la vie en communauté et va donc participer, ou non, aux animations proposées : sport ("De vous à moi, c'est pas pour critiquer, mais on ne fait pas une équipe de foot potable avec des sociopathes."), atelier de dessin, rencontre avec le psychiatre ("J'aime bien les psychiatres, ce sont les seuls à écouter sérieusement les fous...", distribution de médicaments ("la drogue y est gratuite et en plus - et je n'ai jamais vu ça ailleurs - il y a toujours quelqu'un pour s'assurer qu'on prenne bien toute notre drogue. C'est bien simple, je ne comprends pas pourquoi il n'y a pas plus de monde".).
En décrivant un Manu Larcenet en manque d'idées, l'auteur ouvre des dizaines de pistes qu'il explore avant de les refermer et démontre paradoxalement une imagination débordante. Il continue d'explorer l'histoire de l'Art, fréquente Jérôme Bosch et Brueghel l'Ancien, convoque Boileau et Nietzche à un débat télévisé, dialogue avec Baudelaire et réinvente le western.
Le séjour à la clinique porte ses fruits et l'auteur, pas forcément guéri mais apaisé, retrouve sa famille.
Un happy end provisoire en quelque sorte : "Aux Petits Oiseaux Joyeux, si on met de côté quelques suicidaires, en général tout se finit bien ." Un album dense d'une originalité absolues. C'est riche, débridé, foisonnant, intelligent, drôle, décalé et désespéré. Mais l'auteur est aussi un artiste et, en revisitant les grands maîtres, il démontre une incroyable virtuosité graphique.
Manu Larcenet, le dessinateur, peut tout dessiner, jongler avec les couleurs, le noir ou le sépia, adopter tous les styles ; c'est un créateur torturé et complet. Les lecteurs familiers de l'auteur ont évidemment déjà lu le premier tome de cette série hors-norme. Pour ceux qui sont en première année de Larcenet, il est recommandé de le découvrir en commençant par lire le sensationnel "Combat Ordinaire", son premier très grand succès.

Confinement en œuvres

Coincé par le confinement, Manu Larcenet s’allume un petit pétard et part visiter les tableaux des musées

Confinement en œuvres de Manu Larcenet

Pas grand chose d’autre qu’une balade plaisante, un petit peu d’humour, des clins d’oeil et quelques boutades…

Ça m’a quand même bien fait rigoler

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Au cours du confinement du printemps 2020, le dessinateur a revisité l'histoire de la peinture en détournant cinquante toiles de grands maîtres, parmi lesquels Rubens, Goya, Van Gogh, Munch, Bonnard, Klee, Picasso ou encore Warhol. Classées selon l'ordre de succession des grands courants de la peinture, ces oeuvres détournées sont accompagnées de légendes humoristiques

Les petites distances

Une magnifique BD où on ne comprend pas trop ce qui se passe, pourquoi Max est invisible ou les démons de Léonie…

Les petites distances de Camille Benyamina et Véro Cazot

Mais ce n’est pas important, il suffit de se laisser porter

Et c’est très beau

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Pardon.
Excusez-moi.
Pardon.
Ex... cusez... moi !


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Je suis là.
Je suis Max.
On vit ensemble depuis deux semaines.
Enfin c'est surtout moi qui vis chez toi, mais je crois que je ne te dérange pas.
Tu ne m'entends vraiment pas ?

Les plus belles filles de la BD érotique

Un recueil des plus belles filles de la BD érotique, l’idée était très séduisante et le résultat plutôt sexy, voir carrément porn, mais…

Sex in Italy de Luca Tarlazzi

Mais comme dans tous ces recueils, comme dans tous les top, best-of et meilleurs des…, il nous manque toujours celle qui nous avait flashé, il y en avait tant…

Esmera de Zep et Vince

Mais c’est quand même une jolie collection de ces souvenirs amusés (souvent trop courts), de toutes ces bandes dessinées d’une époque aux courbes envoûtantes avec, par exemple :
Alex de Christian Zanier, Anita de Guido Crepax, Aude dans La survivante de Paul Gillon, Beba de Baldazzini, Blanche Épiphanie de Georges Pichard et Jacques Lob, Claudia Christiani du Déclic de Milo Manara, Druuna de Serpieri, Esmera de Zep et Vince, Little Ego de Vittorio Giardino, Erma Jaguar d’Alex Varenne, Giovanna de Giovanna Casotto, Gwendoline de John Willie, Nanna la déesse de Nephyla et Katia Even, Serena dans Sex in Italy de Luca Tarlazzi, Sixella de Janevsky… et beaucoup d’autres !

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Elles font rêver les lecteurs depuis un demi-siècle : les plus belles filles de la BD érotique se dévoilent !

Druuna, Anita, Miel, Janice... Certains connaissent les noms - et la plastique - de ces créatures de rêve sans même avoir lu leurs aventures. Parce qu'elles incarnent chacune à leur manière la beauté et le sex appeal de leur époque, ces héroïnes de BD ont traversé le temps et marqué la libido de générations de lecteurs. Cette anthologie leur rend hommage en réunissant le meilleur de 50 ans de bande dessinée érotique, et tente de répondre à cette épineuse question : mais comment diable leurs créateurs parviennent-ils, en quelques traits, à inventer d'aussi jolies filles ?

Du Déclic (Milo Manara) à La Pharmacienne (Esparbec et Igor & Boccère) en passant par La Survivante (Paul Gillon), Pinocchia(Francis Leroi et Jean-Pierre Gibrat), Mona Street (Leone Frollo)...

Près de 80 extraits issus du meilleur de la bande dessinée érotique, qui mettent en scène les plus belles héroïnes du genre

Un peu d’amour

Une petite merveille de poésie commencée à être dévoilée strip par strip durant le confinement…

Les nouvelles aventures de Lapinot, tome 4 : Un peu d’amour de Lewis Trondheim

Un bonheur de poésie à l’humour timide et délicat

J’ai juste pas trop compris le comment ou pourquoi de la séparation d’avec Cléa… manquait-il un ou deux strips dans la BD disparus lors du choix d’ordonnancement des 132 strips fait par terre ?

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Si les livres étaient comestibles, mangerions-nous ceux que nous n'avons pas aimés ?

Moi, ce que j’aime, c’est les monstres

Une petite fille dans un quartier défavorisé de Chicago des années 60 qui se prend pour un loup-garou détective.

Moi, ce que j’aime, c’est les monstres de Emil Ferris

Son histoire entre sa mère malade, son frère qu’elle suspecte d’avoir tué la voisine, les copines ??? d’école et les monstres

Un chef-d’oeuvre, même s’il peut être un peu difficile d’accès et que je n’ai possiblement pas tout compris (attendons le tome 2). Un magnifique travail d’édition (un peu lourd quand même)

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
J'ai monté le son pour qu'on ne sache pas ce que je faisais, parce que...
... ça serait vraiment la cata...
... si maman se pointait et me trouvait comme ça.


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Journal intime d'une artiste prodige, moi, ce que j'aime, c'est les monstres est un kaléidoscope brillant d'énergie et d'émotions, l'histoire magnifiquement contée d'une fascinante enfant au cœur du Chicago en ébullition des années 1960. Dans cette œuvre magistrale, tout à la fois enquête, drame familial et témoignage historique, Emil Ferris tisse un lien infiniment personnel entre un expressionisme féroce, les hachures d'un Crumb et l'univers de Maurice Sendak

Abécéd’hair Approxima’tif

C’est drôle, très !

Abécéd’hair Approxima’tif de Penseur étoile et Un Faux Graphiste

Rien à ajouter, ruez-vous dessus, prenez-en cinq ou six ! (plus une dizaine pour les offrir avant qu’on ne vous les vole)

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
120 jeux de mots, anagrammes, paronymes ou encore homophones

Last Man, tome 12

Et voilà enfin le douzième et dernier (?) tome annoncé de Last Man. Magnifique !

Last Man 12 de Balak, Michaël Salanville et Bastien Vivès

Et me voilà, partagé entre tristesse, émotion, un brin de déception (on en voudrait toujours plus) et plein de bons souvenirs de cette géniale aventure !

Scénario au top, dessin parfait, personnages vivants et complexes, de la violence, des émotions, de l’amour, de l’humour et de la dérision… Good Job !

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Richard revient pour un dernier voyage dans la Vallée des Rois, pour faire face à un ennemi intime : le premier homme à avoir franchi la frontière d'Ether.

Le passé et le présent, la vie et la mort, l'ordre et le chaos se mélangent pour un final apocalyptique dont nul ne peut prédire l'issue.

Une seule chose est sûre : « Gare à celui qui trop loin flâne du souffle chaud de Reine Iguane... »

Super héros : super pas au point

Des bonnes blagues à l’humour potache en page double. Super(pouvoir) drôle !

Super héros : super pas au point de Walter Glassof et Pierredo Burgaud

Mais tout ça manque un peu de matière quand même.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
De Super Godasse Man, qui est capable de voir à travers les chaussures, à Super Télépathe Woman, qui lit dans les pensées des poissons rouges, découvrez les portraits délirants et poétiques de vrais Super-Héros, avec de vrais super-pouvoirs... mais qui ne servent à rien !

Rien du tout. Sinon à nous faire rire