Blackwater, tome 5 : l’épique saga de la famille Caskey : La fortune

Le clan prospère, du pétrole est trouvé dans les terres des Caskey ! Et comme pour chaque tome désormais, de nouveaux arrivants se présentent et d’autres disparaissent.

Blackwater, tome 5 : l’épique saga de la famille Caskey : La fortune de Michael McDowell

Une fortune plutôt lassante avec toutefois une puissante fin pour doper la soif du dernier volume !

Incipit (et peut-être un petit peu plus si entente)
Tous les Caskey pleurèrent la mort de James avec une grande émotion. Bien qu'âgé et fragile, personne n'avait imaginé qu'il puisse partir un jour.


4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Tel un organisme vivant, le Clan Caskey se développe et se transforme. Certains font face à la mort, d'autres accueillent la vie, entre rapprochements inattendus, haines sourdes et séparations inévitables, les relations évoluent, Miriam, désormais à la tête de la scierie et noyau dur de la famille, ne cesse de faire croître la richesse, suite à une découverte surprenante et miraculeuse - sauf pour une personne - c'est bientôt la ville entière qui va prospérer. Mais cette soudaine fortune suffira-t-elle, alors que la nature commence à réclamer son dû ?

Libye

Une série de témoignages en bande dessinée sur la Libye entre la révolution et aujourd’hui.

Libye de Gianluca Costantini et Francesca Mannocchi

S’ouvrant sur le massacre de la prison de Abou Salim où 1270 détenus furent exécutés, ce livre apporte des témoignages sur la Libye aujourd’hui. Corruption, migrants, milices, non-droit, peur, restrictions et pauvreté sous le regard détourné de la communauté européenne.

Un choc !

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Cet album rend compte de la tragédie que vit la Libye depuis l'intervention armée de 2011, qui a conduit à la chute de Kadhafi, au chaos économique et social et au drame des migrants victimes du trafic d'être humains. Prenant soin d'éviter tout point de vue manichéen, il montre une réalité complexe, bien différente de celle véhiculée par les médias

Chaque jour appartient au voleur

Après quinze ans d’absence, le narrateur revient au pays, à Lagos au Nigeria et se retrouve confronté à la corruption et la violence généralisée.

Chaque jour appartient au voleur de Teju Cole

Un récit empreint de tristesse et de colère devant un pays dépouillé de ses richesses et se débattant dans la misère où les pauvres rackettent les pauvres pendant que le pétrole s’exporte.

Un livre témoignage auquel je n’ai malheureusement pas accroché.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
New-Yorkais depuis quinze ans, le narrateur rentre pour trois semaines dans sa ville natale, Lagos. En vingt-sept chapitres, il rend compte de ce séjour au cours duquel il retrouve sa famille, ses amis, son premier amour, renoue avec son passé et l'univers étourdissant de la mégapole nigériane aux quinze millions d'habitants.

Des périples suicidaires en danfos, ces minibus jaunes décrépis et bondés qui fusent dans les rues, à la meilleure manière de doser un pot-de-vin ou de flouer les gamins de la zone, Chaque jour appartient au voleur est tout à la fois récit de voyage, reportage intime et ode à « cette cité aux mille Shéhérazade ». Une écriture précise et mélancolique, magnifiée par des photographies de Teju Cole