Vous connaissez peut-être

Rigolo ce roman de Sfar fait d’histoire vraie et vécue. Un truc un peu honteux de s’être fait arnaquer sur l’Internet par une femme monstrueusement belle. Tout ça alors qu’il ne se remet péniblement pas d’une rupture.

^Vous connaissez peut-être de Joann Sfar
Vous connaissez peut-être de Joann Sfar

Et que lui-même ne se trouve pas forcément beau…

Et c’est aussi l’histoire d’un chien qui veut manger des chats, c’est chou et c’est drôle et c’est triste.

C’est comme toutes ses histoires, c’est brouillon, vite fait, foutraque, confus et merveilleux. C’est la vie qui va dans tous les sens.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
Six mois de la vie du narrateur, au cours desquels il rencontre une fille sur Facebook et prend un chien, en essayant de lui apprendre à ne pas tuer ses chats

J’aimais mieux quand c’était toi

Amour d’amants, amour passion mais amour impossible. Partir et ne plus se retourner.

J'aimais mieux quand c'était toi de Véronique Olmi
J’aimais mieux quand c’était toi de Véronique Olmi

Mais comment faire, lorsqu’il réapparaît, là, devant soi et que l’on ne peut détourner le regard ?

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
L'homme qui ne s'est pas retourné est celui qui m'a fait perdre non pas la tête, non pas la raison ni le sens commun, mais la ligne même de ma vie

Une simple lettre d’amour

Avec Moix, c’est souvent excessif, sans filtres et viscéral. Là, ça parle d’amour, de séparation, de passion, de jalousie et du besoin de la chair et c’est du brutal.

Une simple lettre d'amour de Yann Moix
Une simple lettre d’amour de Yann Moix

Difficile d’aimer ou pas, mais il tape souvent juste. Un Godzilla des sentiments, Caterpillar des émotions, la porcelaine de Limoges de grand-maman tremble sur les étagères.

4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
« Dès qu'une femme aime un homme, elle fabrique un infidèle. »
Y.M.

La chute des princes

Vertigineuse chute des princes de Robert Goolrick. J’en tombe encore.

La chute des princes de Robert Goolrick
La chute des princes de Robert Goolrick
4e de couv, résumé de l'éditeur ou trouvé ailleurs (pas de moi, donc)
New York, années 1980. Une bande de jeunes hommes trop doués vont vendre leur âme au dollar et se consumer dans une ronde effrénée, sublime et macabre. Ils ont signé pour le frisson, une place sur le grand manège de Wall Street. Dans leur chute, ils rencontreront des anges : Jools, la jeune héritière qui restaure un Titien ; Holly, le travesti le plus spectaculaire de Midtown ; Alan, le décorateur adulé qui ne savait pas qu'on pouvait mourir d'aimer ; Carmela, la femme d'une vie qui, à défaut de rester, pourra témoigner du temps de la grandeur. Personne ne réussira à sauver ces princes qui courent à leur perte, car des monstres trop puissants les pourchassent : le sida, les overdoses, les suicides, la ruine, le regard chargé de honte de leurs parents, l'amour s'excusant, chaque fois, de n'avoir sauvé personne