Des mots choisis pour des chroniques drugs’n rock !

Des belles pages, souvent très drôles mais qui peinent à faire un bon livre. Zut.
Bon, j’me suis bien marré quand même, hein !
« Il était extatiquement évident que j'allais devenir écrivain. »
Des mots choisis pour des chroniques drugs’n rock !
Des belles pages, souvent très drôles mais qui peinent à faire un bon livre. Zut.
Bon, j’me suis bien marré quand même, hein !
Une petite histoire sympa, une photographe qui part à la recherche d’un mythe : la femme parfaite. S’en suit une galerie de portraits.
Mais là, il n’y aurait pas comme une petite erreur de conjugaison ? Dites-moi.
Voilà, voilà.
Un tire-larmes alternant les rires, les émotions, les pleurs, les déchirements, les colères et les réconciliations.
Sympa, mais quand même too much
Un titre à deux entrée, Rosette refoulée pour faire un exemple, mais aussi Rosette comme exemple de la dangereuse inhumanité administrative lorsqu’elle est en main de personnes mal préparées, mal formées ou plus simplement racistes, antisémites, xénophobes …
Un livre en mémoire pour une histoire qui ne cesse de se répéter.
On dit qu’au moment de mourir, on voit sa vie défiler. De nuit, seule sur son bateau, Florence est passée par dessus bord et va mourir, elle raconte la sienne.
En équilibre entre tragique et intimité.
Etrangement empathique pour celui qui a été dépeint en occident comme un infâme tyran diabolique, et pourtant, ça fonctionne.
Certes c’est le Raïs qui parle… Mais alors, un dangereux toxico-mytho-mégalo-délirant ou Le Guide éclairé ?
Un seul suspense : est-il possible de lire ça jusqu’au bout ?
Sinon ? Sexe, fric et meurtres.
Encore un livre sur des vies auxquelles les personnages n’arrivent que difficilement à se raccrocher, empêtrés dans leur spleen et leurs introspections.
Peux de mots et tous à leurs places. Pourtant, même si c’est l’héroïne qui parle, il me reste un sentiment désincarné.
Dans le genre descente aux enfers, difficile de faire mieux que cette ado ivre morte en pleine parano qui perd pied.
Pour les amateurs de sensations extrêmes et munis d’un sac à vomi.
Devenir le maître du monde grâce au plaisir des femmes. Malheureusement, un livre pas aussi jouissif que le bonheur masturbatoire qu’elles semblent ressentir.
Au pays des vibromasseurs les marchands de piles sont rois.